Os presentamos estas redacciones escritas por los alumnos de nivel avanzado de francés sobre lugares insólitos en el camino de Santiago a su paso por Luarca y alrededores. ¡Esperamos que os gusten!
LE HAMEAU NÉOLITHIQUE
« EL CASTIELLO »
Pour découvrir cet endroit
insolite, on doit s’éloigner un petit peu du chemin officiel. Le hameau
néolithique « El Castiello » se trouve à Otur, plus précisément, il
se trouve sur la plage d’Otur, donc il est au bord de la mer.
Pour aller visiter ce lieu,
je vous recommande de ne pas utiliser la route principale pour descendre
à la plage, mais, de prendre un ancien chemin qui va nous conduire directement
au hameau néolithique.
Le paysage là-bas est un peu
sauvage, mais, en même temps, époustouflant. En plus des hameaux, on peut aussi
jouir d’incroyables vues de la plage d’Otur et de l’Océan Atlantique. Cet
endroit n’est pas touristique, donc il est vraiment naturel.
Malheureusement, il n’y a pas de
restos là-bas, donc on peut faire deux choses pour manger : soit rentrer à
Otur où on peut trouver de bons restaurants, soit rester sur la plage et faire
un pique-nique en profitant du paysage.
À mon avis, ça vaut vraiment la
peine de s’égarer un peu du chemin pour aller visiter cet endroit historique et
naturel.
Ángela Sierra
Fernández .
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LE PONT DU BAISER
À Luarca, l’un des sept ponts qui
traverse la rivière Río Negro dans les alentours du quartier des pêcheurs
(“La Pescadería) et à côté du port de la ville, c’est le pont connu comme “le
pont du baiser” (el puente del beso)…
Je ne sais pas si est vrai ou faux,
mais on raconte une légende, dramatique et romantique, quand même, qui décrit
l’histoire de Cambaral.
Au Moyen-Âge, les océans et les
mers étaient pleins de pirates qui avaient l’habitude de dévaster les bateaux
où les Espagnols voyageaient. Le pirate, le plus célèbre, par son pouvoir et sa
cruauté, c’était le barbaresque Cambaral, qui terrorisait tout le monde.
Il égorgeait tous les passagers, les hommes, et enlevait les dames pour après
faire le commerce avec elles sur les marchés.
Tout finit quand un seigneur de
la ville et ses adeptes, se faisant passer pour des pêcheurs
réussirent à le capturer… et tout blessé et maltraité fut
emmené chez lui , à la forteresse de Luarca (La Atalaya) pour le soigner
et le garder avant de le présenter à la Justice.
Là-bas, Mariana, la fille
du seigneur, une jeune d’une grande beauté, fut la personne qui le
soignait pendant la durée de son arrestation…Oh-là là! Ce fut le
coup de foudre, parce que Cambaral et Mariana sont tombés amoureux…sans pouvoir
l’éviter…et c’est alors qu’ils projettent leur fuite imminente vers le port…
Cette nuit choisie pour échapper
les deux traversèrent la rivière en direction du quai se sentant déjà libres de
toute crainte, enlacés et en train de s’embrasser. À ce
moment –là …surgit le père de la jeune fille qui vigilant, stupéfait, et armé
d’une épée aiguisée, réussit à les égorger d’une estocade adroite…
Les deux têtes roulent en tombant
dans l’eau…et là-bas l’amour et la vengeance restent unis pour cette
légende tragique jusqu’à présent…parce que ce serait plus tard comme hommage,
ici, sur la rivière où on construirait ce pont qui reçoit le nom de “le
pont du baiser”…
Cette légende (“Cambaral”) a
laissé une grande trace dans la ville de Luarca. Le quartier des pêcheurs
porte son nom et on distingue deux emplacements: “Cambaral alto” où
était située la forteresse du seigneur (maintenant à sa place il y a un
monument, appelé “La table de Cambaral” ( la mesa de Cambaral) et “Cambaral
bajo”, dans les environs du quai.
Olga Álvarez de la Calle.
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LE CIMETIÈRE
MAURESQUE
Situation: Paroisse de Barcia
Étape: Cadavedo- Luarca ou Otur
(11,7 Km depuis Cadavedo, 5 Km à Luarca, 13,9 Km à Otur)
Le chemin de la Côte
Au kilomètre 500, plus ou moins, de la route nationale 634, après le ruisseau Ricane, les pèlerins trouvent à gauche un petit mont d’eucalyptus. C’est là où on peut découvrir l’édifice. C’est un des cimetières mauresques qu’il y a en Espagne après la Guerre civile.
Le chemin, presque caché par les
herbes, nous conduit jusqu’à l’arc de style arabe où on trouve l’entrée du
cimetière abandonné.
Ce sont presque 500 les marocains et les hommes provenant du Rif (région montagneuse au nord du Maroc) qui sont enterrés dans ce cimetière. Ils sont venus pour lutter dans la Croisade Nationale contre l’Espagne républicaine.
D’après la documentation de
l’époque, il y avait une porte d’un bleu intense dans l’entrée. Il n’y a plus
de porte aujourd’hui, et c’est presque impossible d’y trouver des pierres
signalisant les tombes.
Les murs, les quatre
guérites et l’arc de l’entrée sont en bon état actuellement.
Le cimetière a été construit par
les paysans de la paroisse en 1936.
Le fossoyeur creusait des
sépultures d’un mètre. Son fils nous raconte qu’il avait l’habitude de mettre
de petites quantités d’anis dans les vêtements pour éviter les odeurs à mort, à
sang, à mitraille.
Il évitait ainsi de toucher le
pain avec ses mains. Il évitait même de manger, comme le jour où il se reposait
et un camion de l’armée est arrivé avec plus de quarante morts. L’était des
corps était horrible et il s’en souviendrait toute sa vie.
Laura Álvarez Pérez.
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En descendant par un chemin un
peu caché, plein de végétation, on trouve une petite plage de pierre appelée
Portizuelo. Elle est située à 1 kilomètre environ de la ville de Luarca, dans
un coin d’un autre petit village qui s’appelle Barcia. C’est par là où le
chemin de Saint-Jacques passe. Portizuelo n’est pas sur le chemin, mais si vous
passez par là, vous ne pouvez pas perdre cette merveille.
L'environnement de la plage est
un paradis naturel dans lequel il y a la forêt, un petit fleuve, la mer, les
rochers, le champ et une flore et une faune très variées. La plupart de gens
visite ce lieu par la tranquille plage de pierre. Les formes des immenses
rochers sont vraiment spectaculaires. Il y a beaucoup de photographes, et aussi
de non photographes, qui vont prendre des photos, ou simplement regarder le
paysage. Celui-là est encore plus impressionnant au coucher de soleil,
car les rayons de lumière glissent entre les formes des rochers et créent
un effet qui est pure magie!
Mais cet endroit ne sert pas
seulement pour les photos; si on passe en été, on peut bien profiter de la mer
Cantabrique, le seul inconvénient qu’il y a c’est que l'eau est froide, comme
glacée.
Bien qu'ils soient peu nombreux
ceux qui le savent, à côté de celle-ci, il y a une autre petite plage de
sable. Parmi ses visiteurs, certains ont l'habitude de chercher des minerais ou
d’étudier les rochers, puisque cet endroit a un grand intérêt géologique et en
plus touristique.
Donc, si vous avez pensé faire le
chemin, c’est plus que conseillé de faire peut-être une petite pause pour se
relaxer en contact avec la nature de Portizuelo.
Julieta Anyul Hisi
López.
¡Esperamos que os hayan gustado!
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